L’opalescence d’un
jour comme glaive
Un front sillonné en
tout genre à toutes idées
Le bruissement de
l’eau et les bulles dans les yeux
Nous nous sommes
rencontrés au détour d’une sonate
Du silence pour tous
langages
Une histoire à
milles visages
A pas de chat tu
t’avances et je frémis
L’adolescence des
pierres qui se soulèvent
Une main généreuse
en tout lange à toutes sabrées
Le froissement de
nos peaux et la fibule dans les creux
Nous nous sommes
interpellés au bas d’une véniate
Du ciment pour tout
carrelage
Un hôtel à milles
visages
A pas de lynx tu me
suis et je souris
La turgescence d’un
désir encore en sève
3 nombres glissés en
toute oreille à tous pariés
Le glissement de nos
voix et le vestibule soucieux
Nous nous sommes
rapprochés à gorges étroites
Des deuils pour tous
bagages
Un cœur à milles
visages
A pas de hyène je
gémis, tu m’attendris
L’arborescence des
fièvres sans nulle trêve
L’esquisse heureuse
en toute bouche à tous priés
Le terrassement de
mon âme et le non de ceux
Nous nous sommes
embrassés sous les flammes adéquates
Des doigts pour tous
voyages
un goût à mille
visages
A pas de loup tu
lapes, je faiblis
La quintessence d’un
mur qui agrippe nos rêves
Le tambour porté en
tout corps à toutes échappées
Le croassement de
nos chairs oh ! nom de Dieu !
Nous nous sommes
excités, j’en reste moite
A pas de chiens, on se flaire, on glapit
on s'enfuit?..
on s'enfuit?..
Thé o thym
Stelh 2013
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